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Le 29 Février 2012, à la DGFIP, avec les salariés de toute l’Europe, mobilisons-nous contre l’austérité, pour l’emploi et la justice sociale !

AFFRANCHISSONS-NOUS DU MONDE DE LA FINANCE !

Depuis son élection et l’annonce de la RGPP, le Président de la République et son staff n’ont cessé de multiplier les actes d’allégeance en faveur des marchés financiers et des plus riches.

Conséquence de la spéculation boursière, la crise des sub-primes a eu pour effet d’aggraver le chômage, la précarité et l’inflation. Dans le monde entier, des centaines de millions de travailleurs se sont retrouvés plongés dans la misère.

Nettement plus préoccupés par le montant des dividendes versés aux actionnaires que par les conditions de vie de leurs propres peuples, les pays-membres de la zone euro ont choisi de défendre le monde de la finance contre celui du travail. Ainsi, accourant aux chevets des banques, les gouvernements ont injecté plusieurs centaines de milliards d’euros pour ne pas altérer les profits financiers.

Loin d’atténuer les effets destructeurs de la crise systémique, cette braderie des deniers publics a largement contribué à amplifier les situations de souffrance sociale subie par les salariés. Aujourd’hui, bien qu’ayant profité des largesses pécuniaires des Etats, les établissements financiers surfent sur l’amnésie générale pour pratiquer des taux usuraires au titre des remboursements des dettes souveraines dont ils sont devenus les heureux propriétaires grâce à ces mêmes fonds publics.

Les vrais responsables doivent payer !

Saignés à blanc et refusant de remettre en cause le diktat de la TROIKA (Union Européenne, Banque Centrale Européenne et Fonds Monétaire International), les Etats européens s’infligent des plans d’austérité d’une violence sociale inégalée. Victimes des stratégies capitaliste et médiatique, les dépenses et services publics sont présentés comme une charge budgétaire qu’il faut réduire. Le rôle de l’Etat est limité à une simple pompe à fric, juste bonne à alimenter le CAC40. Les lois sociales sont jugées comme des entraves au fonctionnement du libéralisme.

Ainsi, des pans entiers de missions publiques sont livrés au privé. Pour ne citer que quelques exemples, la santé, le logement, l’éducation deviennent de vulgaires marchandises auxquelles une part grandissante de la population à de moins en moins accès.

En France, dans toute la Fonction publique, les emplois sont détruits au rythme annuel de plusieurs dizaines de milliers. En Grèce, le septième mémorandum adopté par le Parlement prévoit 15 000 licenciements dans les administrations.

(...)

la suite dans le tract ci-dessous :

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Article publié le 23 février 2012.


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